Ça y est!
Tellement contente que les cartes de visite pour Septèmes Les Vallons soient imprimées😀
Une nouvelle étape franchie avec motivation et entrain pour vous accompagner au plus près de chez vous.
Santé magazine aussi en parle: les câlins comme remède contre la déprime, le stress et tant d’autres sensations désagréables du quotidien.
Alors plutôt simple, gratuit, et agréable de se sentir mieux de cette manière, dans le contexte actuel,non?
« Des câlins pour lutter contre le stress
Les bienfaits des câlins, à tous les âges
Les câlins sont bons pour la santé
Les câlins permettent de lutter contre la déprime hivernale
Les câlins facilitent la communication.
Le 21 janvier, on fête les Agnès, mais on célèbre surtout les bienfaits de la câlinothérapie. Un câlin, qu’il soit partagé avec un.e ami.e, avec sa moitié, ou un.e membre de sa famille apporte toujours un sentiment de réconfort. Heureux hasard du calendrier, la journée internationale des câlins – National Hug Day – tombe cette année au lendemain du jour le plus déprimant de l’année : le Blue Monday ! »
A faire sans modération, possible de généraliser à tous les jours …
Aujourd’hui, comment ai-je amélioré mon bien être psychique?
Et oui, qu’est ce que j’ai fait pour me procurer un bien être personnel et me ressourcer?
Et si vous entreteniez votre jardin émotionnel ?
Tout au long des saisons, la nature change, évolue, et s’adapte à la météo, non?
Alors entretenir chaque jour son jardin émotionnel:
– commencer par débroussailler les idées envahissantes,
– arracher les mauvaises habitudes,
– élaguer les croyances mortes,
– retourner le terrain pour aérer le taire
– laisser en jachère si besoin pour récupérer,
– rajouter de l’engrais pour ressourcer,
– préparer les semis des émotions agréables à venir,
– planter les graines de pensées colorées,
– arroser régulièrement de Joie, plaisir, bonne humeur, sérénité
-prendre le temps de regarder grandir les croyances constructives et aidantes,
– et enfin récolter ce que l’on s’aime.
Chaque jour, c’est essentiel d’entretenir sa santé mentale comme on entretient son jardin, ou on une activité sportive ou musicale,n’est ce pas ?
Comme on l’a vu précédemment, il y a les personnes guidées, consciemment ou pas, par « sois parfait(e)! ».
D’autres obéissent, sans même le réaliser, à une autre injonction:
SOIS FORT(E) !
Ces personnes suivent donc cette auto consigne qui leur donne le ton dans leur vie. Elles sont persuadées de devoir gérer seul(e) les aléas du quotidien, et leurs tempêtes émotionnelles, sans rien laisser paraître.
Tellement stimulées par cette injonction, elles en oublient oser demander de l’aide et cherchent à (se) prouver qu’elles résisteront aux crises. Ces amazones des temps modernes ne s’autorisent pas leur vulnérabilité et donc cachent, nient, fuient les émotions envahissantes.
Comment être à la fois fort(e) et entendre le murmure de la tristesse, le cri de la colère ou le chuchotement de la peur, l’anxiété, se demandent-elles souvent.
Alors face à ce dilemme, « sois fort(e) » choisit de (se) cacher ses ressentis en cas de stress, fatigue; ils sont niés et la personne résiste parfois même jusqu’à porter le masque du sourire pour ne pas montrer ses faiblesses.Ainsi, année après année, le cercle vicieux s’installe.
Comment transformer cela en cercle vertueux pour enfin sortir de ce comportement pesant?
Simplement commencer par admettre ce qui se passe à l’intérieur de soi afin d’accueillir les sensations et (se) les montrer. Si les émotions cessent d’être bâillonnées, alors leur tendre une oreille attentive et bienveillante donnera la permission de ne pas être toujours fort(e), d’accepter de se laisser aller, si besoin. Prendre conscience de sa vulnérabilité aide à réagir d’une manière plus bénéfique à son bien-être.
C’est tellement plus utile de mettre ses émotions à son service,non?
D’ailleurs à ce propos l’atelier GESTIONS des Émotions continue en Skype pour ceux ayant envie d’en savoir plus.
Prendre soin de soi, physiquement et mentalement, un art de vivre.
ED
En ces temps particuliers de confinement, quand les jours commencent à se mélanger, alors la patience est parfois mise à rude épreuve: entre l’ordinateur à la traîne lui aussi,la récitation du poème « Liberté » d’Eluard du petit dernier, l’apprentissage du violon de l’aîné, le sport du conjoint qui fait un marathon sur le balcon, et le reste….comment ne pas perdre patience dans tout cela, me direz-vous.
Alors j’ai eu envie de partager l’histoire du petit garçon qui plantait des clous !
« C’est l’histoire d’un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu’à chaque fois qu’il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture.
Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent à mesure qu’il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture…Il découvrit qu’il était plus facile de contrôler son humeur que d’aller planter des clous derrière la clôture…
Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur. Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu’il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture.
Son père le prit par la main et l’amena à la clôture. Il lui dit: « Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. À chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. »
Auteur(e) inconnu(e)
Je vous laisse méditer sur ce que peut vous apporter cette fable, en ces jours de confinement où la patience devient une alliée, un jour après l’autre.
Et s’il suffit d’une phrase magique pour avancer « JE SAIS QUE JE PEUX! »et atteindre le but fixé…
Spéciale dédicace aux petits et grands enfants à qui je dédie cet hymne à la confiance en Soi
Aujourd’hui on parle des graines de chia !
Quand au détour d’une séance pour réapprendre à manger autrement, on en vient à parler d’alimentation saine, équilibrée et goûteuse à la fois pour garder l’essentiel: le plaisir de manger et se faire du bien.
Ces petites graines peuvent aider à gommer les kilos gênants dus aux contrariétés, frustrations que l’on combat à coup de chocolat, chips, ou toutes autres « cochonneries » qui ne font du bien que sur le moment, non?
Bien sur, je ne suis pas entrain de vous parler de pilule magique; juste d’un nouveau aliment à introduire dans votre nouvelle alimentation pour allier équilibre alimentaire et gourmandise.
Elles sont riches en fibres : important pour le transit intestinal !
Elles contiennent des acides gras essentiels oméga 3, et ça c’est important parce que bien souvent on en manque cruellement. Les omégas 3 sont indispensables à la santé cardiovasculaire ,au développement et à l’efficacité du système nerveux, et enfin à la bonne santé cellulaire en général.
Elles sont riches en protéines ( bonne alternative aux protéines animales)
Elles sont une bonne source de calcium ( alternative au produits laitiers)
Les graines de chia contiennent également du fer
Enfin elles contiennent des vitamines C et E : des vitamines antioxydantes qui luttent contre les radicaux libres et le vieillissement prématuré.
Que des bonnes choses dans cette petite graine, donc à parsemer sur les plats et salade, à préparer en entremets au lait d’amande accompagnés de fruits, ou encore simplement à rajouter dans un verre d’eau.
A tester!
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Quel plaisir de manger lorsque la faim pointe. le bout de son nez, n’est-ce pas?
Le corps sait réguler notre faim naturellement; il est très bien organisé pour ressentir le besoin de manger au moment ou les réserves en lipides,minéraux,sucre,vitamines baissent. La faim est donc un signal automatique envoyé par le cerveau dans le corps, si on l’ écoute.
Mais qu’est ce qui fait que parfois nous mangeons sans fin/faim, plus que notre corps ne le réclame vraiment ?
Quand le stress, la contrariété, l’ennui ou d’autres émotions déplaisantes ou plaisantes aussi se font sentir;pour beaucoup le réflexe est alors de se réfugier dans le sucré, le salé et même les deux pour se faire remplir .
Donc trop souvent, pour permettre de faire face à des tensions extérieures, des frustrations, on se soulage par l’intérieur en avalant trop de nourriture « riche » qui remplit et calme momentanément seulement.. Si nos besoins ne sont pas satisfaits par le monde extérieur alors on a tendance à rechercher inconsciemment le moyen de se faire du bien de l’intérieur pour générer un apaisement psychologique.
Et voila comment nos angoisses, nos émotions, nos tensions, sont détournées vers des aliments qui ont une fonction d »antidépresseur » immédiat et contribuent à faire grossir.
Alors plutôt que de perdre le contrôle, faire le choix d’apprendre à gérer autrement avec l’hypnose comme méthode pour retrouver naturellement une alimentation équilibrée et saine, gage d’une bonne santé. Et c’est d’actualité en cette période de vœux, n’est-ce pas! Après des fêtes riches en émotions et calories faire le souhait de mincir durablement et éviter enfin l’effet yo-yo des régimes.
Ne dit on pas: « fais autrement quand tu as déjà essayé et que ça n’a pas marché ? »
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